Dans un tourbillon de couleurs vives et de traits entremêlés, l’humain se décompose et se réinvente. Visages superposés, membres désarticulés, formes qui s’entrelacent dans une danse organique et chaotique. L’identité se dissout dans un kaléidoscope de sensations, où l’intérieur et l’extérieur fusionnent dans un dialogue silencieux.
Chaque ligne, chaque ombre raconte une histoire, un cri muet inscrit dans la matière. Le regard se perd dans ces fragments d’existence, entre chair et esprit, entre conscience et oubli. L’éclat des teintes fluorescentes semble révéler une énergie invisible, une tension entre l’être et son reflet diffracté.
Sommes-nous un, sommes-nous plusieurs ? L’image ne donne pas de réponse, elle invite seulement à plonger dans le mystère de notre propre perception.